Kabrit commence à peindre en 2007 dans les rues de Beyrouth. Très vite, l’aspect libre et accessible du graffiti encourage chez lui l’envie de créer des ponts entre différents publics, et de s’en servir pour faire passer des messages. Après les beaux-arts, il étudie l’animation. Ce nouveau médium lui permet de diversifier ses modes d’expressions visuelles : présenté dans de nombreux festivals, son court métrage Amal (Forum des Images 2019) traite de la thématique humaine liée à l’exil. Depuis, il a réalisé divers clips pour des artistes Moyen-Orientaux et Français, et travaille également dans le « mapping 3d ».